Voila l'histoire que vous attendez depuis matuisalem et c'est bien sure en plusieur partie..., en tout cas cette histoire va etre super importante puisqu'elle vas donné création dans le prochaine épisode a un grand travaux que vous kifferai obliger:
ps: je ne l'ai pas relue alors peut etre qu'il y a des phrase bizare dites le moi svp
1er PartieChapitre 1: PolitiquePlusieurs vaisseaux mère stationnaient sur Atlantica, planète de rassemblement de l'alliance.
Quelques passagers des vaisseaux posèrent pied sur terre et se dirigèrent vers le Discourium sous une forte escorte.
Le Discourium accueillait les représentants des planètes membres, afin de discuter et de résoudre ensemble les problèmes remarqués sur l'organisation de l'alliance.
Les Empereurs et Sénateurs polémiquaient depuis 13 heures, et les esprits commençaient à s'agiter sous la fatigue.
Quand soudainement une sonnerie aigue retentit, attirant tous les attentions des sénateurs.
Le déclenchement sonore mit la population en plein chaos, et les représentants s'enfuirent tous précipitamment de la salle de discussion.
Tout les habitants savaient ce que la sonnerie signalaient, une flottes hostiles se dirigent vers la planète, elle avaient dû être repérer par les détecteurs.
Cela faisait plus d'une génération qu'elle n'avaient pas retentit et la panique n'en fut malheureusement pas moins réduit.
Chapitre 2: InvasionDix minutes s'écoulèrent jusqu'à l'arriver des premiers groupes de vaisseaux, et seule la sonnerie et les explosions des champs de mines dans le ciel indiquaient leur présence. Les batteries terrestres attendaient patiemment leurs arrivées, et le danger ne mit pas longtemps a apparaître du ciel.
Les batteries lancèrent leurs offensives, les fusées s'envolèrent, et malgré les énormes quantités défensives en place, les boucliers des vaisseaux ennemis ne semblaient pas faiblir. Tous les militaires étaient étonnés de la résistance des boucliers. Cela semblait impossible car aucune puissance connue ne possédait une telle technologie.
Le dessous des vaisseaux s'ouvrit lentement et simultanément. Une lumière aveuglante paralysa tous les observateurs.
Un projectile lumineux parti à une grande vitesse de la nouvelle section visible des vaisseaux, et entra en collision avec la planète. La zone d'impact s'éclaircit et une grande quantités de chaleur envahi les alentours. La zone avait complètement disparu, ni végétation, ni bâtiment, ou encore même les batteries protégées pas les boucliers n'était présent après cette éclair. Cette arme ne faisait pas parti de la connaissance de Atlantes.
Les défenses d'Atlantica ne purent résisté que quelques minutes sous une telle domination.
Pendant ce temps, le centre de communication essayaient de transmettre un signale aux autres planète espérant qu'elle n'ont pas subit le même sort. Malheureusement malgré les tentatives répétées des techniciens la transmission semblais comme brouillée, sans aucun doute par un vaisseaux présent en atmosphère lointaine. Les ordinateurs s'éteignirent d'un coup.
Les troupes d'envahisseurs posèrent pied, et visèrent comme premier objectif la prise des systèmes de communication, et pénétrèrent dans la structure neutralisant sans mal les techniciens.
D'autres ennemis s'emparèrent de la planète en parfaite coordination avec les autres équipes.
Il ne restait maintenant plus qu'une place à prendre, le Discourium qui était tout à fait équipé pour les intrusions extérieures.
Les tentatives d'intrusions commencèrent alors que les portes blindées se mirent en oppositions à leurs attaques.
Chapitre 3: RefugeDans le même instant les Empereurs et Sénateurs, atteignaient le sous-sol dissimulé du bâtiment qui avait pour seule utilité d'accueillir les personnes importantes durant une attaque probable.
Les envahisseurs disposèrent un énorme laser sur la porte qui leur faisait obstacle. Deux heures avaient été perdu pour amener et monter l'arme, cependant elle semblait très efficace.
Elle mettait environs 4 minute et 25 secondes à percer un centimètre ce qui était infime pour un blindage aussi épais et résistant. En effet cela leurs donnaient 1 heures et demi pour ouvrir un passage.
Les parlementaires accumulaient la peur dans la "Panic room", observaient le SAS quant l'un deux s'avança bousculant tout le monde sur son passage, cherchant quelqu'un de droite a gauche :
- Silius, Silius… Où est Silius ?
- Pourquoi demander vous ça ?
Il se retourna vers l'écran et le montra du doigt, dirigent ainsi tout les regard affolé vers ce dernier.
L'écran affichait l'un des vaisseaux envahisseurs, et l'on pouvait voir sur le vaisseau le sceau d'un aigle enflammé. Le groupe compris tout de suite de qui il s'agissait, et cherchèrent à leur tour Silius.
C'était lui, qui commandait cette invasion, et le faite qu'il n'était pas présent dans la salle avec eux confirmait leur théorie. Alors qu'il assistait aux discours, Silius avait dû s'échapper dans la panique de l'attaque.
L'écran se mit à se brouiller, et une neige s'y installa quelques seconde, lorsque le traître apparu:
- Je sais que vous m'entendez, et que vous vous êtes réfugiés dans la "Panic room". Ouvrez de suite cette porte, car quoi qu'il arrive elle cédera et rien ne pourra l'empêcher. Je viens de prendre le contrôle de la planète, n'espérer donc pas recevoir un secours d'une manière ou d'une autre.
Quand mes soldat arriverons à la porte il ne vous restera que 3 heures.
Choisissez la résistance et vous souffrirez, ouvrez moi de suite et je vous promets aucun mal.
La communication se coupa, et la neige réapparu.
Les parlementaires ne savaient plus quoi faire, ils étaient perdu, étonnés de voir leur camarade les défiés. Aucun d'eux n'avaient imaginer cette face cacher de Silius, il semblait si compréhensif, si partisans de la république, mais tout ça n'était que pure chimère afin de me mieux accéder au pouvoir absolu.
Les esprits ne mirent pas longtemps à retrouver leurs préoccupations prioritaires, et l'ordre que leur ex-camarade leur avait transmit.
Ils avaient dû mal à réfléchir avec toute cette tension, et les idées avaient plus de mal à s'accorder qu'au part avant.
L'un d'eux reprit pleine conscience de ses moyens, s'imposa puis proposa un vote.
Alors qu'un Empereur récoltait les votes de l'urne, les présents contenaient difficilement peur, et lorsque les résultats furent dévoilés, l'un deux se leva brusquement, protestant entièrement ce choix, ils poussaient tout le monde, puis sorti une arme dissimulé:
- Vous faites ce que vous voulez mais il est hors de questions que reste croupir ici pour souffrir je préfère partir, croyez vous qu'il nous tuera si nous lui obéissons, cela m'étonnerai.
Alors que plusieurs tentaient de le résonner sur le choix, un sénateur exposa son avis :
- Pensez-vous vraiment que nous pouvons prévoir comment Silius va réagir, personne ne peut le savoir, qui aurait pu juste imaginer ce qu'il à fait. Nous avons un autre Hommes là haut, un homme que nous n'avons connu…
Il fut interrompu quant un empereur le frappa violement à la nuque, l'assommant.
Les votes s'orientèrent donc vers la non ouverture du SAS, ils préféraient mourir que de servir a l'usage d'un troc contre les autres planètes.
Les envahisseurs commencèrent leur tentatives d'intrusions dans la "Panic room", ils avaient finalement réussi a percé le premier blindage.
Les représentants commençaient à perdre espoir, gardant chacun ce sentiment pour eux afin de ne pas créer une panique.
Chapitre 4: RésistanceTandis que les mauvaises nouvelles encombraient les penser des représentant, un nouvel espoir apparaissait sans qu'ils le sachent.
Les quelques Hommes avaient réussi à survivre à l'attaque de Silius, c'étaient regroupé dans un entrepôt qui n'avaient pas subit la destruction. Ces Hommes formaient maintenant la résistance, qui naissait du plus grand espoir de retrouver la liberté.
Les principaux militaires survivants étudiaient maintenant un moyen de récupérer la planète. Une offensive provenant de l'interne ne pouvait réussir vu le nombre de troupes présentes dans les air et sur terre. Ils conclurent donc que le seul moyen de victoire était l'intervention d'un allié extérieur.
Les réflexions furent interrompu lorsque des soldats ennemies pénétrèrent dans l'entrepôt, la résistance se dispersa sans attendre, malgré les cries des soldats ordonnant leur immobilisation, bras levés.
Les envahisseurs ouvrirent le feu dans la second qui suivait leur demande, plusieurs résistants tombèrent au sol touché dans le dos en fuyant, les autres couraient vers la trappe qui conduisait dans les tunnels souterrains, ramassant sur leur passage les toutes les armes, explosifs, et chargeurs qu'ils pouvaient emportés.
Certains réussirent à attendre la trappe, et alors que les soldats progressaient vers eux fusillant les autres fuyards sans aucune pitié, un rescapé piégea l'entré du souterrain, laissant ainsi ses compatriote vers une mort certaine, seulement il savaient qu'il ne s'agissaient pas de sauver quelques rescapés mais tout un peuple, et qu'il était maintenant leur seul espoir.
Un soldat mitrailla la trappe, faisant ainsi partir les quelques survivants.
Ils se mirent à courir aussi vite qu'ils le pouvaient dans les tunnels étroits, à ce moment là plus rien ne passait dans leurs têtes, ils ne sentaient plus leurs jambes, à vrai dire ils ne se sentaient même plus courir, jusqu'au moment où ils entendirent les derniers échanges de désespoir des lasers résistants qui eurent lieu dans l'entrepôt.
Ils repensèrent tous à leurs compatriotes piégés là haut, qui venaient de mourir pour leur pays.
Les résistants continuèrent à courir jusqu'à épuisement. Ils venaient de parcourir le trajet avec toutes les armes et munitions qu'ils tenaient.
Alors que tous les Hommes s'asseyaient d'épuisement, l'un du groupe se dressa brusquement vers un autre. Il le bouscula violement contre le mur, et le frappa au visage, s'effondrent sous le coup du poing :
- Tu les as tous tué, c'est de ta faute tout ça, c'est à cause de toi qu'ils sont morts, tu aurais dû être à leurs places !!
- Arrête, arrête ! Prononçait un homme.
Tu crois que nous devons nous battre pour réussir, ça m'étonnerait alors calme toi mon frère, aujourd'hui nous marchons tous ensembles !
Tout les autres résistants se précipitèrent sur l'agresseur, aidant l'intervenant. Après quelques secondes l'agresseur résonna de lui-même une fois ses idées éclaircies.
Les tensions redescendirent aussi vite qu'elles étaient montées après ce brusque incidents, et un silence pesant s'installa...
A Suivre...